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3 août 2013 6 03 /08 /août /2013 18:30

Si le chiffre 3 est important dans la tradition judéo-chrétienne : les trois anges qui se présentèrent à Abraham, la Transfiguration en présence de trois disciples (Pierre, Jacques et Jean), la figure ternaire de l'évangile de Jean avec Dieu le Père, Jésus le Fils Bien aimé et l’Esprit saint, puis la Trinité (Dieu en trois personnes fusionnées), sans oublier la « Sainte famille » avec Marie, Joseph et l’Enfant Jésus, etc., le chiffre 4 l’est également avec les quatre points cardinaux, le Temple de Jérusalem et ses quatre côtés, les quatre évangiles, etc.

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Aux quatre évangélistes correspondent les quatre « faces » de la vision d’Ezéchiel dite du « char de Yahvé », Ez 1,3-28 : « une face d’homme » pour Matthieu, un lion pour Marc, un taureau pour Luc et un aigle pour Jean. Ce bestiaire repose donc sur une vision prophétique récupérée pour l’apologie chrétienne (selon la lecture allégorique prônée entre autres par Origène et qui veut que les textes du Premier testament sont de nature prophétique et annoncent systématiquement les évènements christiques de l’ère chrétienne, lien).


L'Apocalypse reprend (et donc confirme) cette vision avec celle des « quatre Vivants » qui se tiennent autour du Trône (Ap 4, 6-8) : un lion, un jeune taureau, un visage d’homme et un aigle en plein vol.


Irénée de Lyon (vers 180) a sans doute été le premier à faire l’identification en associant toutefois l’aigle à Marc et le lion à Jean. Mais c’est Jérôme (348-420) qui aura le dernier mot quant aux attributions. Son explication repose sur les observations suivantes : l’homme ou l’ange est attribué à Matthieu parce que son évangile commence avec une généalogie (Mt 1, 1-17) et se poursuit avec les récits d’enfance où les anges interviennent à plusieurs reprises. Le lion est associé à Marc parce que son récit de Jésus s’ouvre avec un passage prophétique évoquant « une voix qui crie dans le désert » (Mc 1,3); Jérôme associe cette voix au rugissement du lion. Le taureau, animal sacrificiel par excellence, représente l’évangéliste Luc à cause du sacrifice de Zacharie au Temple que l’on retrouve au début de son évangile (Lc 1, 5-25). L’aigle qui atteint aisément le sommet des montagnes représente bien l’évangéliste Jean car son œuvre est considérée comme le plus spirituel des évangiles. Laissons à Jérôme cette responsabilité qui n'engage que lui-même.

Source : Sylvain Campeau, sur le site de Interbible.org (le portail biblique francophone), basé à Montréal au Québec (lien).

 

La chaire en bois sculptée de l'église Notre-Dame du Sablon, à Bruxelles, reprend ce bestiaire évangélique avec un ange (pour Matthieu) entraînant un taureau et un lion, et lui même surmonté d'un aigle aux ailes déployées. Remarquez une croix tatouée sur le flan du jeune taureau.

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à l'arrière, à l'entrée de l'escalier qui mène à la cuve, l'artiste a quelque peu surchargé son monument avec deux allégorie féminines, l'une portant une lampe à huile et un livre ouvert qu'on suppose être un évangile, et la seconde portant une mitre de pape pour bien signifier l'autorité du magistère. Tout en haut, derrière la place de l'orateur une allégorie cette fois-ci masculine (car ce sont les hommes seuls qui prêchent !) avec la puissante silhouette d'un prédicateur lançant le feu (la foudre ?) sur son auditoire ! Plus inspiré, je meurs ! En tout cas, cette chaire est on ne peut plus inspirante !

Bruxelles_2013_juillet12_les_sablons_P1012468-copie-1.JPGBruxelles 2013 juillet12 les sablons P1012467

photos Jean-Claude Barbier, juillet 2013

ND_du_Sablon_chaire.jpgvue d'ensemble de la chaire, photo Wikipedia

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3 août 2013 6 03 /08 /août /2013 12:06

L'Eglise principale de Gorinchem (Pays-Bas, à l'est de Rotterdam), de tradition calviniste, possède dans sa collection de manuscrits anciens une illustration des récits de la Genèse : Dieu demandant à Adam de nommer les animaux (photo 1), sortant Eve de l'une de ses côtes afin qu'il ne souffre pas de solitude (photo 2), Noé recevant la colombe qui tient en son bec une branche d'olivier et lui annonce ainsi la fin du Déluge, le même Noé ayant trop but de vin et étalant sa nudité à la vue de ses fils impudiques, etc. Pour les deux premières illustrations, on note l'embarras de l'artiste pour représenter Dieu. Qu'à cela ne tienne, puisque Jésus est Dieu lui-même (selon le dogme trinitaire), la réciproque est également vraie. Sur ce, l'artiste a représenté Dieu sous les traits du rabbi Jésus. CQFD !

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Photos Jean-Claude Barbier, juillet 2013

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3 août 2013 6 03 /08 /août /2013 09:50

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La mort de Jésus sur la croix a été interprétée par ses disciples comme un acte rédempteur : tel le Serviteur souffrant du Livre d'Isaïe, il aurait porté sur lui nos péchés et les aurait ainsi expiés. Ce vitrail de l'église Notre-Dame du Sablon à Bruxelles montre cet acte rédempteur qui restaure l'ordre paradisiaque en écrasant le serpent qui tenta Adam et Eve avec le fruit de l'arbre de la Connaissance du Bien et du Mal (ici une pomme) ... et d'où la mort résulta. Jésus, selon l'expression paulinienne, est le Nouvel Adam qui nous délivre de la mort et nous rend l'éternité de la vie.

Depuis le théologien italien anti-trinitaire Faust Socin ( lien), les unitariens n'adhèrent plus à cette théologie de la Rédemption (du péché originel, des péchés que nous commettons nous-mêmes). Jésus a été crucifié par les autorités romaines à la demande des autorités juives. Ce fut un acte politique ; certes mystique si Jésus le vécut ainsi, mais certainement pas cosmique (ainsi que le suggère la représentation du soleil et de la lune de chaque côté de la croix).

A noter que l'iconographie chrétienne représente les clous enfoncés au niveau des paumes de la main et de la plante des pieds, alors que le corps suspendu à la croix ne pourrait pas tenir ainsi (lien).

Au pied de la croix (et selon l'évangile de Jean seul) : Marie, la mère de Jésus (le poignard indique sa douleur - et non son suicide ! - dans la tradition du dolorisme catholique), et Jean (le Disciple que Jésus aimait et non pas l'apôtre avec qui la tradition fait l'amalgame ; le premier étant plus jeune) (lien).

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photos Jean-Claude Barbier, juillet 2013

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2 août 2013 5 02 /08 /août /2013 17:42

Mettant à profit un séjour en France du 2 au 16 juillet 2013, Ambroise Niyongabo, jeune avocat burundais et par ailleurs nouveau président de l'Eglise unitarienne de son pays, a visité les institutions européennes à Strasbourg (le 7 juillet), La Haye (le 9) et Bruxelles (les 12 et 13). Ce voyage s'est fait dans le cadre d'un partenariat entre l'Assemblée fraternelle des chrétiens unitariens (AFCU) et l'Assemblée des chrétiens unitariens du Burundi (ACUB). Les photos de ce reportage ont été prises par Jean-Claude Barbier.

 

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2 août 2013 5 02 /08 /août /2013 16:58

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A l'entrée du Palais, une flamme de la paix ("World Peace Flame") brûle en permanence ; en cercle et par ordre alphabétique, le nom de tous les pays signataires de la Cour internationale de La Haye.

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2 août 2013 5 02 /08 /août /2013 09:50

la_haye_palais_de_la_paix_hugo_grotius_P1012440.JPGHugo Grotius (1583-1645), de son nom d'origine Huig de Groot ou Hugo de Groot, est un juriste des Provinces-Unies (aujourd'hui Pays-Bas), né à Delft et ayant fait ses études à l’université de Leyde.

Portrait par Michiel Jansz van Mierevelt (1631).
Avocat, il a été conseiller de la Compagnie hollandaise des Indes orientales et écrit en 1604 à la requête de celle-ci, désireuse d’établir juridiquement son droit de capture sur les navires ennemis, De iure praedae (Sur le droit de capture) ; puis en 1609, Mare liberum (Les Mers Libres), un droit de la mer où il affirme la liberté de commerce contrairement à l’Angleterre qui, elle, s’aménage une zone côtière liée à sa souveraineté. Ce pays adoptera la loi de navigation en 1651, interdisant à toutes les marchandises d'entrer en Angleterre sauf sur des bateaux anglais. Il s’ensuivra la Première Guerre anglo-néerlandaise (1652-1654).


Grotius soutint Johan van Oldenbarnevelt et les États généraux des Pays-Bas dans leur conflit avec le stathouder, Maurice de Nassau, Prince d'Orange, fils de Guillaume Ier d'Orange-Nassau. Il fut arrêté par Maurice, le 29 août 1618, en même temps que Johan van Oldenbarnevelt, lors du Synode de Dordrecht. Van Oldenbarnevelt fut exécuté, et Grotius fut condamné à l'emprisonnement à vie dans le château de Loevestein. En 1621, il s'évada du château dans une caisse de livres, et s'enfuit à Paris où il séjournera jusqu’en 1644 comme résident de Suède. Le roi Henri IV fut un grand admirateur de Grotius, et le présenta à sa cour, en disant « Voici le miracle de la Hollande ».


C’est donc en France qu’il écrivit en 1625 son œuvre la plus célèbre De jure belli ac pacis (Du droit de la guerre et de la paix). Il y affirme un État juste qui accepte une souveraineté limitée fondée sur le respect du droit naturel, lequel constitue un contrat moral entre toutes les nations.

 

Quelques concepts utilisés par l'auteur :
 

L’état de nature où c’est le plus fort qui l’emporte au mépris des autres.
Le droit naturel : la raison (la « droite raison ») nous fait connaître qu’ « une action est moralement honnête ou deshonnête selon la convenance ou la disconvenance nécessaire qu’elle a avec la nature raisonnable et sociable de l’homme ». La volonté de Dieu n’est pour lui qu’une manifestation indirecte dans la production normative, celle-ci émanant avant tout de la nature humaine et de son caractère sociable. Ce droit naturel est immuable, commun à toutes les époques et à toutes les régions.
Un contrat entre personnes libres : « Un corps parfait de personnes libres qui se sont jointes ensemble pour jouir paisiblement de leurs droits et pour leur utilité commune » est la définition de l'État selon Grotius. Il fonde sa thèse sur l’existence d’un contrat initial par lequel les hommes ont renoncé à l’état de nature. Il affirme que les lois sont à l’État ce que l’âme est au corps humain. L'État rassemble une multitude de créatures raisonnables unies pour les choses qu’elles aiment ; il a pour fonction d’assurer le respect des lois et d’organiser les tribunaux chargés de rendre ce qui est dû aux étrangers comme aux particuliers du pays. Ceci, bien en avance sur l'ouvrage que Jean-Jacques Rousseau publiera en 1762 : Du Contrat Social ou Principes du droit politique.

Le territoire ne constitue pas un élément de l’État, mais le contrat fondamental qui lie les individus à l’État interdit la cession d’une province sans le consentement des populations intéressées.
Le droit à la résistance : la violation de ce contrat social fondé sur le droit naturel entraîne un droit de résistance à l’oppression en faveur de ses sujets.
La guerre juste : Grotius évoque les guerres défensives destinées à protéger d'une agression la population et le patrimoine de l'État, et les guerres coercitives pour punir ceux qui violent le droit, à condition que la violation soit grave. Il admet sur le plan international le droit de guerre encadré par des normes qui n’autorisent que les guerres justes.
Le droit volontaire : alors que le droit naturel prescrit des modes de règlement pacifique des différends entre États, le droit volontaire provient d’une volonté qui peut être tantôt divine, tantôt humaine. Ce droit ne résulte pas d’une volonté qui serait supérieure à celle des États, mais de leur accord, de leur volonté convergente, issue de la coutume ou des conventions formelles. Les États sont tenus de reconnaître la primauté du droit naturel sur le droit volontaire.

Grotius écrivit plusieurs livres sur la religion : Defensio fidei catholicae de satisfactione (Défense de la foi chrétienne, 1617), De veritate religionis Christianae (Sur la vérité de la religion chrétienne, 1627), Via ad pacem ecclesiasticam (Le chemin vers la paix religieuse, 1642) , De imperio summarum potestatum circa sacra (Sur le pouvoir des souverains concernant les affaires religieuses, 1647), De fato (Sur le destin, 1648). Son apologie de la religion chrétienne écrite en 1627 et publiée en 1632, fut traduit du latin en anglais, arabe, persan et chinois par Edward Pococke en vue d'être utilisée pour le travail missionnaire en Orient, et resta éditée jusqu'à la fin du XIXe siècle. C'était le premier livre protestant dans l'apologétique chrétienne. Une partie du texte traitait de l'authenticité et du contenu des évangiles canoniques. D'autres sections de l'œuvre s'adressaient à d'autres religions, judaïsme et islam. Ce qui distinguait aussi cette œuvre dans l'histoire de l'apologétique était son rôle précurseur dans l'anticipation des problèmes exprimés dans le déisme du XVIIIe siècle. D'autre part, Grotius représente le premier praticien de l'apologétique légale ou juridique dans la défense de la croyance chrétienne.
Grotius a aussi développé un point de vue particulier du rachat des péchés par le Christ connu en tant que théorie du « gouvernement moral ». Le sens du sacrifice de la mort de Jésus est que le Père pardonne tout en maintenant sa loi juste sur l'univers. Cette idée, développée ultérieurement par des théologiens tels que John Miley, devint le point de vue dominant dans l'arminianisme et le méthodisme.


Toutefois, bien que faisant partie de l’aile arminienne dans les années 1617*, il prit ses distances d’avec les thèses du socinianisme en écrivant une réfutation : De Satisfactione Christi … à laquelle répliquèrent en 1623, les sociniens de Rakow, sous la plume de Jean Crell, lequel publia à Lunebourg, Responsio ad librum Hugonis Grotii quem de satisfactione Christi adversus Faustum Socinum senensem scripsit.
* Maurice Causse parle de lui dans sa série sur le « fil d’Arius » ( lien). Pour les relations entre sociniens et arminiens/remonstrants, voir surtout les travaux de l’Italienne Luisa Simonutti ( lien).

 

la_haye_palais_de_la_paix_hugo_grotius_P1012439.JPGEminent juriste, il fut aussi philosophe, apologiste chrétien, dramaturge, et poète. Il n’a pas cessé de militer pour un ordre authentiquement humain et pour une chrétienté ouverte, purifiée par un retour à ses sources. Ayant vécu à l'époque de la Guerre de Quatre-vingts ans (1568-1648 ; ou la révolte des Gueux) entre l'Espagne et les Pays-Bas et de la Guerre de Trente Ans (1618-1648) entre les nations européennes catholiques et protestantes ; il n'est pas surprenant qu'il ait été profondément marqué par les questions de conflits entre nations et les religions. Il était lui-même calviniste de tendance modérée et entretenait de nombreux contacts avec des catholiques, espérant une réunification des Eglises chrétiennes.


La Bibliothèque du Palais de la Paix à La Haye possède une collection importante de ses œuvres suite à une donation de Martinus Nijhoff. La Société américaine de droit international a, depuis 1999, tenu une série annuelle de conférences sur Grotius.

 
Source principale : article Wikipedia

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2 août 2013 5 02 /08 /août /2013 09:35

La Cour pénale internationale (CPI) utilise la prison du quartier Scheveningen pour y mettre ses détenus. Lors de notre visite, le mardi 9 juillet 2013, l'ex-président de la Côte d'Ivoire Laurent Bagbo s'y trouvait.

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à l'entrée de la prison, un bas relief rappelant les camps de concentration nazis

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1 août 2013 4 01 /08 /août /2013 18:50

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1 août 2013 4 01 /08 /août /2013 18:42

Sur la place du Luxembourg, qui introduit au Parlement européen de Bruxelles, s'élève la statue de John Cockerill (1790-1840), un industriel belge qui, pour sa politique sociale, fut considéré comme le "père des ouvriers".

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1 août 2013 4 01 /08 /août /2013 18:30

Les institutions européennes de Bruxelles sont desservies par la gare du Luxembourg, vieille gare du XIX° siècle dont on a conservé la façade de style classique.  Derrière, l'esplanade Solidarnosc avec l'entrée de la nouvelle gare.

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